Florence (dernière)
1207 de captivité pour Ingrid Betancourt et Clara Rozas, 44 jours pour Douglas Wood.
Ce blog photographique a vu le jour du fait de la détention de Florence Aubenas. Il continuera puisque Ingrid Betancourt n’est pas encore libre.
Et si je n’ai pas tout compris aux propos de Florence, notamment en ce qui concerne les journalistes roumains, je retiens d’abord ces phrases : « Ce courage, il était ici aussi. Ce courage de soutenir quelqu’un pendant 157 jours (…) cette histoire, c’est une histoire collective (…) ».
A quand les mêmes mots dans la bouche d’Ingrid Betancourt ou de Clara Rozas ?

Soutenir – verbe tr. – Début XIIIe, sostenir, fin IXe ; d’un latin pop. sustenire, class. sustinere, de sus- et tenere.
Empêcher (qqn) de fléchir, de défaillir, en apportant aide, concours, secours, réconfort, encouragement....
>"Et pourquoi n’avouerais-je pas que ces amitiés, que des témoignages donnés çà et là par des inconnus, m’ont soutenu dans la carrière et contre moi-même et contre d’injustes attaques, contre la calomnie qui m’a si souvent poursuivi, contre le découragement (…)"
Ce blog photographique a vu le jour du fait de la détention de Florence Aubenas. Il continuera puisque Ingrid Betancourt n’est pas encore libre.
Et si je n’ai pas tout compris aux propos de Florence, notamment en ce qui concerne les journalistes roumains, je retiens d’abord ces phrases : « Ce courage, il était ici aussi. Ce courage de soutenir quelqu’un pendant 157 jours (…) cette histoire, c’est une histoire collective (…) ».
A quand les mêmes mots dans la bouche d’Ingrid Betancourt ou de Clara Rozas ?

Soutenir – verbe tr. – Début XIIIe, sostenir, fin IXe ; d’un latin pop. sustenire, class. sustinere, de sus- et tenere.
Empêcher (qqn) de fléchir, de défaillir, en apportant aide, concours, secours, réconfort, encouragement....
>"Et pourquoi n’avouerais-je pas que ces amitiés, que des témoignages donnés çà et là par des inconnus, m’ont soutenu dans la carrière et contre moi-même et contre d’injustes attaques, contre la calomnie qui m’a si souvent poursuivi, contre le découragement (…)"
Honoré de BALZAC, Avant-propos (1842), Pl., t. I, p.15.
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