Enfin (1)
138 jours de captivité pour Florence et Hussein, 22 pour Douglas... et maintenant 7 jours pour Clementina.
Voilà 42 jours, quand j'ai entamé cette chronique par une photo des journalistes roumains, j'imaginais une libération proche pour la journaliste de Libération. Malheureusement depuis, les portraits et les noms se sont multipliés! L'australien Douglas Wood en Irak et l'italienne Clementina Cantoni en Afghanistan.
Les trois journalistes roumains ont donc été libérés et pour le ministre, "c'est une bonne nouvelle" pour Florence Aubenas. Je ne vois pas le rapport entre les deux affaires et les mêmes propos avaient été tenus lors de la libération de Giuliana Sgrena il y a près de deux mois...
Alors aujourd'hui j'ai choisi l'éphémère d'une rose fraîchement éclose pour contrer l'enfermement de toutes ces personnes. Parce qu'il n'y a jamais de roses au fond des geôles.

Fraîchement - adv. v. 1150; freschement "rapidement, tout de suite"; de frais.
Depuis très peu de temps
>"La journée était claire et tiède, et la terre, fraîchement ouverte par le tranchant des charrues, exhalait une vapeur légère."
Voilà 42 jours, quand j'ai entamé cette chronique par une photo des journalistes roumains, j'imaginais une libération proche pour la journaliste de Libération. Malheureusement depuis, les portraits et les noms se sont multipliés! L'australien Douglas Wood en Irak et l'italienne Clementina Cantoni en Afghanistan.
Les trois journalistes roumains ont donc été libérés et pour le ministre, "c'est une bonne nouvelle" pour Florence Aubenas. Je ne vois pas le rapport entre les deux affaires et les mêmes propos avaient été tenus lors de la libération de Giuliana Sgrena il y a près de deux mois...
Alors aujourd'hui j'ai choisi l'éphémère d'une rose fraîchement éclose pour contrer l'enfermement de toutes ces personnes. Parce qu'il n'y a jamais de roses au fond des geôles.

Fraîchement - adv. v. 1150; freschement "rapidement, tout de suite"; de frais.
Depuis très peu de temps
>"La journée était claire et tiède, et la terre, fraîchement ouverte par le tranchant des charrues, exhalait une vapeur légère."
George SAND, la Mare au diable, II.
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